Se donner l'autorisation

(ou plutôt la chercher... et si possible la trouver)

Chaque semaine, j’ai l’impression d’aborder le même sujet, mais de manière toujours un peu différente ou sous un angle un peu différent : aller vers plus de douceur, se sentir mieux sur le long terme, quitter la culpabilité. Se créer une vie qu’on aime. Donc peut-être qu’il y a des redites d’une semaine à l’autre, mais on le sait tous.tes, il faut parfois entendre / se dire 1000 fois la même chose pour l’intégrer, qu’elle devienne notre réalité.

Cette semaine, je suis très challengée sur le fait de me donner des autorisations.

Je pourrais aussi dire le fait de prendre des libertés. Sauf que je suis, pour le moment, le type de personne qui ne prend pas de liberté sans autorisation.

Je ne sais pas encore d’où ça vient. Et je crois que je n’ai pas forcément envie de savoir. Comme je l’ai lu dernièrement** :

On peut choisir de passer une vie à guérir ou à vivre.

Jusqu’à maintenant, j’avais plutôt opté (même clairement) pour la guérison. Maintenant, j’opte pour le fait de vivre.

Identifier une limite, une croyance, c’est bien. On peut la déconstruire dans le passé, décider consciemment ou non de la garder encore un moment (car chaque croyance à sa raison que seule la raison ignore) ou bien, on peut choisir de lui dire : ok, je te vois, tu es là, mais maintenant, je veux vivre et expérimenter autre chose.

Alors, la question à laquelle il reste à répondre pour soi est : comment ?

Comment je vais expérimenter ce nouveau sentiment, cette nouvelle sensation, cette nouvelle autorisation, cette nouvelle liberté ?

Personnellement ça passe beaucoup par le fait d’avoir d’autre représentation de mode de vie, de manière de voir les choses (le temps, l’argent…) ça participe à la déconstruction de ce qui est pour pouvoir construire ce qui me semble le plus juste et le plus aligné. Et vous ?

Je vous souhaite une semaine remplie de très jolis “comment”.

Toujours avec le cœur,
Lucile 🌸💜

PS : la semaine prochaine, je suis en vacances (youhouuu) donc je me laisse la possibilité de choisir jusqu’à la dernière minute de vous écrire. A dimanche prochain, autrement, on se retrouve dans 15 jours.

Prenez-soin de vous.

PS2 : ** il me semble l’avoir entendu dans une vidéo de Sophie Chague.